Passez au salon

cartographiesDeux professeurs du Département de littérature et de français seront au Salon du livre de Montréal qui commence le mercredi 16 novembre à la Place Bonaventure.

Nos collègues Annie Dulong et Mathieu Leroux occuperont le stand des éditions La Mèche pour y dédicacer Cartographies I : Couronne Sud, premier recueil de nouvelles d’une série consacrée à la banlieue. « Le dernier été » d’Annie Dulong se déroule à Sainte-Martine, tandis que « Cendré », de Mathieu Leroux, a pour décor la flamboyante McMasterville.

Trois autres auteurs ― Éric Godin, Nicholas Dawson et Guillaume Bourque ― y proposent également une nouvelle, sur Godmanchester, Brossard et Boucherville respectivement.

Annie et Mathieu seront présents pour signer cet ouvrage le samedi 19 novembre, de 13 h à 14 h, et le dimanche 20 novembre de 13 h 30 à 14 h 30.

Tous deux participeront également à une table ronde intitulée « Arpenter la banlieue, écrire la périphérie ». Animée par l’éditeur Pierre-Luc Landry, la rencontre aura lieu à l’Agora du Salon, dimanche, à 12 h 15. Les participants y discuteront joyeusement de « la représentation des zones suburbaines ».

P. M.

Rencontrer l’Autre : Abénakis, Anishnaabe-Algonquins, Attikamek, Cris, Innus, Inuit, Kanien’kehá:ka-Mohawks, Malécites, Micmacs, Naskapis et Wendats-Hurons

Rencontrer l'AutreL’événement « Les peuples autochtones du Québec. Rencontrer l’Autre, si loin, si proche » aura lieu du 17 octobre au 4 novembre au campus de Longueuil. Cette semaine d’activités et de réflexions sur le thème de la rencontre avec les Autochtones, cet Autre à la fois si loin dans nos préoccupations collectives et si proche dans notre histoire, a pour objectif de sensibiliser la communauté d’Édouard à la réalité autochtone et de déconstruire les préjugés. En partenariat avec la Boussole interculturelle, le comité organisateur, au sein duquel on retrouve deux professeurs du Département de littérature et de français, a mis sur pied une programmation riche et variée. Elle comprend des conférences, une projection de film, une table ronde et des expositions auxquelles sont conviés les professeurs comme les étudiants. L’ensemble de la programmation est disponible dès maintenant sur le portail du collège.

Le comité organisateur :

Frédéric Julien, professeur au Département de littérature et de français
Julie Lachance, professeure au Département de littérature et de français
Sylvie Loslier, professeure au Département d’anthropologie
Annie Nantel, professeure au Département d’anthropologie
Johanne Paquin, professeure au Département de science politique

Lancement du livre La liquidation programmée de la culture: quel cégep pour nos enfants?

Liquidation programmée de la cultureExceptionnellement, nous laissons la place à nos collègues de philosophie qui font paraître un ouvrage qui nous concerne, car il se porte à la défense de la culture et de la formation générale.

« Il nous fait plaisir de vous rappeler le lancement de l’ouvrage La liquidation programmée de la culture : quel cégep pour nos enfants ? ce mercredi 28 septembre à 18h au Bar le Saint-Houblon, angle St-Denis et Maisonneuve à Montréal. (1567 Rue Saint-Denis, Montréal)

Événement Facebook : https://www.facebook.com/events/484104838464319/

À propos du livre : http://www.editionsliber.com/catalogue.php?p=787

Pour entendre l’entrevue de Michel Désautels avec Gilles Gagné (Ulaval) à Radio-Canada :

http://ici.radio-canada.ca/emissions/desautels_le_dimanche/2016-2017/chronique.asp?idChronique=417241

Nous rappelons également que la NAPAC prépare un Cabaret culturel le 16 novembre au Lion d’Or :

https://www.facebook.com/events/572949679564207/

Solidairement,

L’exécutif de la NAPAC

« Cet ouvrage est né d’une inquiétude grandissante que nous éprouvons à l’égard des transformations de l’éducation, et en particulier du cégep, envisagées par le gouvernement et énoncées notamment dans le rapport du Chantier sur l’offre de la formation collégiale présidé par Guy Demers. Ce rapport propose une réforme radicale des cégeps afin d’en achever la mutation en antichambre du marché. Et ce qui nous abasourdit particulièrement, ce n’est pas tant ce qui s’y trouve que ce qui ne s’y trouve pas : sur la culture, rien ; sur le rôle de l’éducation dans sa transmission, rien ; sur son contenu, rien bien entendu. Et pourtant, il recommande l’adaptation plus grande à ce marché en constant changement. Plus que les critiques, ce qui inquiète, c’est ce silence.

Les textes réunis dans cet ouvrage visent à penser et à défendre la culture. La culture ? On en parle tellement que, finalement, on ne sait plus tellement ce que c’est ni à quoi ça sert. Entre la culture privilège d’une élite et la culture comme divertissement omniprésent, quelque chose d’essentiel s’est perdu, qui a trait à la créativité de l’agir proprement humain, et donc à sa liberté. » (Extrait de la préface)

Simon Roy en entrevue

Owen Hopkins Esquire_pDeux ans après Ma vie rouge Kubrick, l’écrivain et professeur de littérature au Cégep Lionel-Groulx Simon Roy publie un second roman, toujours aux éditions du Boréal, intitulé Owen Hopkins, esquire. Pascale Millot l’a interviewé pour le magazine Montréal centre-ville. À lire ici.

Simon Roy sera de passage à Édouard-Montpetit en novembre pour parler de son premier roman, Ma vie rouge Kubrick, et des rapports entre fiction et réalité, mensonge et récit, écriture de soi et réécriture de soi, etc.

Nicolas Chalifour au FIL

ChalifourLe 27 septembre prochain, Nicolas Chalifour discutera des auteurs et des livres qui nourrissent son désir d’écrire en compagnie de l’écrivaine portugaise de renommée mondiale Lidia Jorge (Le rivage des murmures, La couverture du soldat, Les mémorables).

Les deux auteurs participeront à un évènement public à la Maison des écrivains dans le cadre du Festival international de littérature de Montréal. La rencontre promet d’être fertile en échanges : l’auteur de Vu d’ici,tout est petit et de Variétés Delphi ne cache pas sa passion pour le pays de Pessoa et de Saramago. Son prochain roman (à paraitre chez Héliotrope) se déroulera d’ailleurs à Lisbonne.

Autour de la question initiale ― quels sont les livres qui vous font écrire ? ―, le professeur de littérature évoquera cette « relation trouble entre nos lectures, la création et notre expérience du monde. » « Les auteurs que j’aime le plus sont ceux chez qui ce rapport au monde et aux livres s’incarne avec intensité et intelligence dans leur œuvre », explique-t-il. Parions qu’il sera question de Vladimir Nabokov, d’Agota Kristof et de Paul Auster entre autres.

Maison des écrivains, mardi 27 septembre, de 17h à 19h. Animation : Marie Parent. L’admission est gratuite.

P. M.

Une magnifique soirée pour le lancement des revues culturelles

DSC_0051Le 26 mai dernier, la cohorte fraîchement diplômée du programme Arts et lettres, profil Lettres, a présenté le fruit de son travail de fin d’études : quatre équipes ont lancé autant de revues culturelles contenant des articles critiques, des créations originales et des textes d’accompagnement. Un public nombreux est venu assister à la soirée de lancement au studio-télé tandis que plus de 170 revues étaient vendues ! Les équipes ont d’abord décrit brièvement la démarche adoptée pour chaque projet de revue, puis la soirée s’est poursuivie par un « plateau » littéraire pendant lequel les étudiantes et les étudiants se sont succédés pour nous présenter des textes de leur cru ou de leurs auteurs de prédilection. L’ambiance énergique et éclatée a été soutenue par un groupe de musiciens attentif aux désirs des lecteurs et de la salle. L’évènement fut un grand succès !

Des photos de la soirée sont disponibles ici.

François Godin

Bravo aux finissants et finissantes du profil Théâtre!

Le mercredi 25 mai dernier, les finissants et finissantes du profil Théâtre présentaient la pièce Don Quichotte, tirée du roman de Miguel de Cervantès, dans une adaptation du dramaturge québécois Jean-Pierre Ronfard. Un grand succès ! Lors des deux représentations qui se sont tenues ce jour-là à la salle Jean-Louis Millette du Théâtre de la ville, les étudiants et étudiantes ont démontré leur immense talent et leur intarissable imagination. Ce spectacle, mis en scène par leur professeure, Lyne Hains, assistée par Samuel Tétreault, a reçu d’innombrables critiques et commentaires positifs.

Plusieurs de ces étudiants et étudiantes, fiers de quatre mois de travail intensif, ont participé à la fabrication des nombreux costumes, sous la supervision de la talentueuse costumière Jasmine Lachance. D’autres ont collaboré à la conception des décors, de la sonorisation et des images vidéo sous la supervision de l’imaginative scénographe Suzie Bilodeau et de son assistant-régisseur Dominic Audette.

Jérémie Poirier, dans le rôle de Don Quichotte et Marc-Antoine Brisson, dans le rôle de Sancho, ont ébloui l’auditoire par leur performance étincelante. Quant aux autres comédiens et comédiennes, Camille Desgagné, Patrick Bourassa, Roxanne Turbide-Allard, Gabrielle-Ève Lane, Charles-Antoine Perreault, Marie-Pier Barbeau, Guillaume Dextraze, Maude Lachance, Sofiane Hébert, Frédéric Désormiers, Marie-Hélène Perron, Laurie Houle, Marikah Pierre, Laurie Deneault, Florence Béland, Naomie Robin, Pénélope Condrain-Morel, Émile Demers, ils se sont tous illustrés dans leur rôle respectif. Il ne faut surtout pas oublier la performance du guitariste, Martin Brunelle, qui a su ajouter au spectacle une saveur espagnole.

C’est donc avec un immense plaisir que les étudiants et étudiantes du profil Théâtre ont présenté leur travail et leur hommage à cet incontournable personnage, Don Quichotte. Vivat !

Pour voir des images d’une des représentations, il suffit de cliquer ici.

Lyne Hains

Lancement des revues culturelles de la cohorte 2016 du profil Lettres

RevuesLe jeudi 26 mai prochain, les finissants et finissantes du profil Lettres vous convient au lancement de leurs revues culturelles. Au studio-télé, de 17h à 19h, ils vous présenteront leur œuvre, fruit de toute une session d’écriture et de travail éditorial sous l’égide bienveillante de François Godin. Aux textes de création et aux articles critiques sur des œuvres littéraires s’ajoutent des textes d’accompagnement en lien avec la littérature et la culture d’aujourd’hui.

Abordant parfois la légitimité identitaire en la cherchant derrière les visages et les actions avec Mascarade, ou sous forme de variabilité chez [méta]mouvance, les revues cherchent aussi, comme Faux pas peut se targuer de le faire, la critique d’une laideur sociétale, ou simplement à tendre vers l’inconnu et la marginalité avec Machine à écrire. C’est ainsi, mais toujours à travers l’art, que les finissants et finissantes du cégep d’Édouard-Montpetit en Lettres vous présentent le lancement de leurs quatre revues culturelles.

Le lancement de ces revues constitue une célébration de fin de DEC pour cette cohorte d’Arts et lettres, profil Lettres, et un préambule à leur fameux « plateau » littéraire auquel vous êtes conviés (pour vous inscrire et y participer, envoyer un MIO à Naoby Chiasson ou Mathieu Bédard) de 19h à 22h. Lectures, performances et exposition d’œuvres seront au rendez-vous.

Don Quichotte, présenté par les finissants en Théâtre

Les finissants du programme Arts, lettres et communication, option Théâtre, présentent Don Quichotte, le mercredi 25 mai 2016, à 12h30 et à 20h, à la salle Jean-Louis-Millette du Théâtre de la Ville. Pour les étudiants, c’est une belle façon de clore les études collégiales après deux ans à Édouard. « Ce projet représente pour nous la conclusion de deux belles années d’efforts soutenus », a mentionné Marie-Hélène Perron, finissante.

D’après la mise en scène de Lyne Hains, professeure de littérature au Cégep, assistée de Samuel Tétreault, étudiant en Théâtre, la pièce promet une soirée haute en couleur. « La diversité du texte de Jean-Pierre Ronfard et de celle des étudiants font la force de la pièce », a souligné Samuel.

Le spectacle a été monté de toutes pièces par les étudiants, explorant ainsi tous les aspects du théâtre. Scénographie, costumes, décors, jeu, chaque finissant avait sa propre responsabilité. « L’expérience a été enrichissante sur tous les points. C’est un bagage qui ne nous quittera jamais », a fait savoir Laurie Deneault, finissante.

La pièce en quelques mots

Don Quichotte semble avoir perdu la raison. La tête pleine de romans de chevalerie, le vieil homme s’échappe d’une réalité trop vide et trop sombre pour lui, accompagné de sa mythique monture Rossinante. Sous ses yeux, les auberges se transforment en châteaux, les paysannes en princesses et les moulins à vent en géants… Rencontrant au fil de son parcours celui qui deviendra son écuyer, Sancho Panza, Don Quichotte écrira sa propre histoire, quitte à confronter le monde cynique qui l’entoure à la force même de ses bras et de ses mots.