Un texte de Nicolas Chalifour dans MuseMedusa

Un texte de notre collègue Nicolas Chalifour paraît dans la revue MuseMedusa. Le thème de ce numéro dirigé par Léonore Brassard et Benjamin Gagnon Chainey est «Des fées aux pleureuses». Le lancement aura lieu ce jeudi, 1er septembre, à la Librairie du Square à Outremont à 17 heures.

https://www.facebook.com/events/572948001195484/?ti=ls

Dossier 10

La revue littéraire des finissant.e.s de l’option Littérature

L’entièreté du tirage de la revue en format papier produite par les quatorze finissant.e.s du programme Arts, lettres et communication, option Littérature, a été écoulée avant même le lancement du 12 mai et l’extraordinaire Nuit de la poésie qui a suivi. Le Collectif des 28 mains tenait à vous remercier chaleureusement pour vos inconditionnels et généreux appuis.

Grâce à la vente de cette revue, un don de 520$ sera fait à l’organisme Les Impatients. 

Pour ceux et celles qui n’auraient pas réussi à mettre la main sur un des exemplaires de la revue, sachez que cette dernière sera déposée à la Bibliothèque du Cégep Édouard-Montpetit, tant au campus de Longueuil qu’à celui de Saint-Hubert.

Enfin, le Collectif des 28 mains vous invite à prendre connaissance de la courte vidéo de présentation de leur projet ainsi que de la version numérique de leur revue. La vidéo et la revue numérique sont désormais accessibles sur le site «Le français s’affiche!», dans le «Coin des créateurs».

Pour ceux et celles qui souhaiteraient mettre des visages et des voix sur cette cohorte d’exception, cela se passe ici.

Lancements et Nuit de la poésie

Vous êtes toutes et tous invité.es à participer à la Nuit de la poésie, qui aura lieu le 12 mai prochain à 19h, au studio de télévision du Cégep (local D-2320). Au menu: poésie de feu, musique et micro ouvert. C’est ouvert à tous et gratuit! Cet événement sera précédé, à 18h, par le double lancement de Monstruosités, la revue des finissant.es de l’option Littérature, et de Saison baroque, la revue de poésie et de photographie du Cégep.
Au plaisir de vous y voir!

Un premier roman pour Sébastien Hamel

La maison des empaillés, le premier roman de notre collègue Sébastien Hamel, est en librairie depuis le 22 septembre: «Ce roman poétique raconte une Amérique obsessive et malade faite de hantises dont ses habitants ne peuvent s’affranchir qu’au prix le plus élevé. Écrit dans une langue lancinante et implacable, il tente de rejouer l’immobilité que promet toujours le fait de porter l’héritage des êtres, des paysages et des silences dont nous sommes issus. Roman d’introspection, de filiation trouée et des joies nouvelles, La maison des empaillés raconte une vie de famille sous tension qui oscille entre horreurs tues et douleurs surexposées. » https://lemeacediteur.com/la-maison-des-empailles

Lancement de Saison baroque

L’équipe de la revue Saison baroque aura le bonheur de vous présenter le jeudi 23 septembre à 18h son plus récent numéro, concocté pendant l’année 2020. Des lectures et des projections de photos au menu.Retrouvons-nous sous le chapiteau dans le stationnement devant l’aréna du cégep. Veuillez confirmer votre présence en cliquant sur ce lien : https://cegepmontpetit-estd.omnivox.ca/estd/frma/?SV=FA44B4 À bientôt !

« Ulysse, figure intemporelle, voyage, exil et fluidité »

Le Cégep Édouard-Montpetit est bien représenté dans le plus récent numéro de la revue de littérature et d’art moderne MuseMedusa intitulé « Ulysse, figure intemporelle, voyage, exil et fluidité ». Notre collègue Pascale Millot y signe une « Lettre au fils » (http://musemedusa.com/dossier_9/millot/) où elle rend hommage à Anticlée, la mère du grand héros. Jérémy Champagne, un ancien étudiant du profil Arts, lettres et communication aujourd’hui étudiant à la maîtrise en littérature y signe également un texte de création intitulé« Ligne de personne » (http://musemedusa.com/dossier_9/champagne/) tandis que notre collègue professeure de cinéma Phyllis Katrapani y revient sur son film Ithaque, hommage à son père réalisé il y a 24 ans (http://musemedusa.com/dossier_9/katrapani/).

Présentation de la revue produite par le Collectif des Égar(ée)s

La prévente de la revue en format papier des douze finissant-es du programme Arts, lettres et communication, option Littérature, tire à sa fin et le Collectif des Égar(ée)s vous remercie chaleureusement pour votre appui.

Les quelques revues imprimées restantes sont désormais disponibles à la Coop et en ligne au coût régulier de 10$.  

Faute d’avoir eu accès à la chaleur humaine d’un lancement, le Collectif des Égar(ée)s vous invite à prendre connaissance de la vidéo de présentation de leur revue ainsi que de la version numérique de celle-ci.

La vidéo et la revue sont désormais accessibles sur le site « Le français s’affiche! », dans le tout nouveau « Coin des créateurs ».

Pour ceux et celles qui souhaiteraient mettre des visages et des voix sur cette cohorte d’exception, cela se passe ici.

Les finissantes et finissants de l’option Littérature lancent une revue

Cette session, dans le cadre du cours « Revue littéraire », les douze finissant.es du programme Arts, lettres et communication, option Littérature, ont regroupé leur talent et leur imagination sous un collectif d’écriture baptisé le Collectif des Égar(ée)s. Sous ce nom, leur cohorte signe une publication entièrement originale explorant différentes variations autour du thème du « Chaos ».

Via la Coop Édouard-Montpetit, en ligne seulement, l’édition limitée de leur revue en format papier est désormais en prévente au coût de 10 $ (5$ pour la revue en prévente + 5$ pour la livraison). 

Afin de venir en aide aux étudiant.es aux prises avec des difficultés financières, le Collectif des Égar(ée)s a décidé que toutes les sommes collectées grâce aux ventes de cette publication seront versées au Fonds d’aide financière de la Fondation du Cégep Édouard-Montpetit.

Pour ceux et celles qui souhaiteraient encourager le travail de cette cohorte d’exception et contribuer au Fonds d’aide financière de la Fondation, vous pouvez vous procurer votre exemplaire ici.

Hugo Beauchemin-Lachapelle fait paraitre un nouveau recueil de poèmes

« Dans un recueil en forme d’inventaire, le poète compte ses failles, brade ses objets et son corps, pour apprivoiser la perte. » (l’Hexagone)

Je conspire avec les bouches
cousues, pas un bruit, pas un son:
je peine pourtant à ôter
de mes pieds le cri
qui s’y colle
comme une gomme.