L’équipe de la revue Saison baroque aura le bonheur de vous présenter le jeudi 23 septembre à 18h son plus récent numéro, concocté pendant l’année 2020. Des lectures et des projections de photos au menu.Retrouvons-nous sous le chapiteau dans le stationnement devant l’aréna du cégep. Veuillez confirmer votre présence en cliquant sur ce lien : https://cegepmontpetit-estd.omnivox.ca/estd/frma/?SV=FA44B4 À bientôt !
Le Cégep Édouard-Montpetit est bien représenté dans le plus récent numéro de la revue de littérature et d’art moderne MuseMedusa intitulé « Ulysse, figure intemporelle, voyage, exil et fluidité ». Notre collègue Pascale Millot y signe une « Lettre au fils » (http://musemedusa.com/dossier_9/millot/) où elle rend hommage à Anticlée, la mère du grand héros. Jérémy Champagne, un ancien étudiant du profil Arts, lettres et communication aujourd’hui étudiant à la maîtrise en littérature y signe également un texte de création intitulé« Ligne de personne » (http://musemedusa.com/dossier_9/champagne/) tandis que notre collègue professeure de cinéma Phyllis Katrapani y revient sur son film Ithaque, hommage à son père réalisé il y a 24 ans (http://musemedusa.com/dossier_9/katrapani/).
La prévente de la revue en format papier des douze finissant-es du programme Arts, lettres et communication, option Littérature, tire à sa fin et le Collectif des Égar(ée)s vous remercie chaleureusement pour votre appui.
Les quelques revues imprimées restantes sont désormais disponibles à la Coop et en ligne au coût régulier de 10$.
Faute d’avoir eu accès à la chaleur humaine d’un lancement, le Collectif des Égar(ée)s vous invite à prendre connaissance de la vidéo de présentation de leur revue ainsi que de la version numérique de celle-ci.
La vidéo et la revue sont désormais accessibles sur le site « Le français s’affiche! », dans le tout nouveau « Coin des créateurs ».
Pour ceux et celles qui souhaiteraient mettre des visages et des voix sur cette cohorte d’exception, cela se passe ici.
Cette session, dans le cadre du cours « Revue littéraire », les douze finissant.es du programme Arts, lettres et communication, option Littérature, ont regroupé leur talent et leur imagination sous un collectif d’écriture baptisé le Collectif des Égar(ée)s. Sous ce nom, leur cohorte signe une publication entièrement originale explorant différentes variations autour du thème du « Chaos ».
Via la Coop Édouard-Montpetit, en ligne seulement, l’édition limitée de leur revue en format papier est désormais en prévente au coût de 10 $ (5$ pour la revue en prévente + 5$ pour la livraison).
Afin de venir en aide aux étudiant.es aux prises avec des difficultés financières, le Collectif des Égar(ée)s a décidé que toutes les sommes collectées grâce aux ventes de cette publication seront versées au Fonds d’aide financière de la Fondation du Cégep Édouard-Montpetit.
Pour ceux et celles qui souhaiteraient encourager le travail de cette cohorte d’exception et contribuer au Fonds d’aide financière de la Fondation, vous pouvez vous procurer votre exemplaire ici.
Notre collègue Mathieu Blais fait paraître Les choses réelles, recueil de nouvelles qui sera disponible en librairies à compter du 15 février: « Dans ce recueil constitué au fil des dernières années se côtoient hyperréalisme, absurde, science-fiction et poésie. En filigrane, on trouve notre rapport à la nature, à la maladie, au temps et à nous-mêmes, thèmes explorés par l’auteur depuis ses débuts en littérature. Ces choses réelles sont des histoires d’amour, de liberté baroque et d’arbres qui meurent. » (http://www.edvlb.com/choses-reelles/mathieu-blais/livre/9782896498444)
Dans le plus
récent numéro de la revue Moebius, qui a pour thème « Mais il ne
suffit pas de se tenir debout sur l’autre rive du fleuve », notre collègue
Mathieu Blais fait paraitre un poème intitulé « Il n’y a pas de distance
si grande ». Dans ce numéro, il est également possible de lire un poème de
Patricia Houle, ancienne étudiante du Département : « Un ponton
nommé Désir tiré par un Ford F-150 : reprographie de la vie
contemporaine ».
Mathieu Blais vient de faire paraitre un poème dans la revue internationale de poésie contemporaine Place de la Sorbonne. Cette revue a la particularité de présenter des textes inédits, mais aussi de jeter un éclairage universitaire sur les textes qu’elle publie. Le poème de Blais s’intitule « La rotation des peaux » et est analysé par Gérard Berthomieu.
Comment explorer la pandémie selon une autre forme que celle de la pensée rationnelle? Comment les expériences de crise sont-elles indissociables des affects? Comment penser, à partir du récit, une crise qui continue d’agir sur nous, pour considérer les enjeux, les menaces et les espoirs qu’elle fait naître? Ce sont ces questions qui ont fait naître le collectif d’auteur.e.s Récits infectés auquel ont collaboré nos collègues Nicolas Chalifour (« Zorro carnaval ») et Pascale Millot (« Comme une odeur de javel dans la blancheur du jour ») parmi une vingtaine d’écrivain.e.s, dont Régine Robin, Catherine Mavrikakis, Mathieu Leroux et Hector Ruiz.
Ces récits affectés, infectés, écrits sur le vif, autorisant les
erreurs, les errements, les hantises, les folies, font entendre des voix tantôt
réfléchies et touchantes, tantôt emportées, enragées, souffrantes, jouissantes.
Faire parler de telles voix a été le pari de ce collectif dirigé par Léonore
Brassard. Ce projet est chapeauté par la Chaire McConnell en recherche-création
sur les récits du don et de la vie en contexte de soins.