Notre collègue Mathieu Blais fait paraître Les choses réelles, recueil de nouvelles qui sera disponible en librairies à compter du 15 février: « Dans ce recueil constitué au fil des dernières années se côtoient hyperréalisme, absurde, science-fiction et poésie. En filigrane, on trouve notre rapport à la nature, à la maladie, au temps et à nous-mêmes, thèmes explorés par l’auteur depuis ses débuts en littérature. Ces choses réelles sont des histoires d’amour, de liberté baroque et d’arbres qui meurent. » (http://www.edvlb.com/choses-reelles/mathieu-blais/livre/9782896498444)
Dans le plus
récent numéro de la revue Moebius, qui a pour thème « Mais il ne
suffit pas de se tenir debout sur l’autre rive du fleuve », notre collègue
Mathieu Blais fait paraitre un poème intitulé « Il n’y a pas de distance
si grande ». Dans ce numéro, il est également possible de lire un poème de
Patricia Houle, ancienne étudiante du Département : « Un ponton
nommé Désir tiré par un Ford F-150 : reprographie de la vie
contemporaine ».
Mathieu Blais vient de faire paraitre un poème dans la revue internationale de poésie contemporaine Place de la Sorbonne. Cette revue a la particularité de présenter des textes inédits, mais aussi de jeter un éclairage universitaire sur les textes qu’elle publie. Le poème de Blais s’intitule « La rotation des peaux » et est analysé par Gérard Berthomieu.
Comment explorer la pandémie selon une autre forme que celle de la pensée rationnelle? Comment les expériences de crise sont-elles indissociables des affects? Comment penser, à partir du récit, une crise qui continue d’agir sur nous, pour considérer les enjeux, les menaces et les espoirs qu’elle fait naître? Ce sont ces questions qui ont fait naître le collectif d’auteur.e.s Récits infectés auquel ont collaboré nos collègues Nicolas Chalifour (« Zorro carnaval ») et Pascale Millot (« Comme une odeur de javel dans la blancheur du jour ») parmi une vingtaine d’écrivain.e.s, dont Régine Robin, Catherine Mavrikakis, Mathieu Leroux et Hector Ruiz.
Ces récits affectés, infectés, écrits sur le vif, autorisant les
erreurs, les errements, les hantises, les folies, font entendre des voix tantôt
réfléchies et touchantes, tantôt emportées, enragées, souffrantes, jouissantes.
Faire parler de telles voix a été le pari de ce collectif dirigé par Léonore
Brassard. Ce projet est chapeauté par la Chaire McConnell en recherche-création
sur les récits du don et de la vie en contexte de soins.
Le plus récent numéro de la revue Les écrits vient de paraître. France Mongeau y présente le Laboratoire de l’écrivain, dans un texte intitulé « Faire résonner ce qui parle en soi ». Nicolas Chalifour et Mathieu Blais ont eux aussi collaboré au numéro, signant respectivement les textes « Mascarade » et « Tu lui diras l’amour aussi ». Plus de détails ici.
Le tout nouveau numéro du recueil de poésie et de photographies Saison baroque sera lancé la semaine prochaine, le jeudi 5 décembre 2019, à compter de 18 h, au café étudiant du campus de Longueuil (local A-125). Étudiants et membres du personnel sont invités à y assister en grand nombre.
La revue Saison baroque entrelace les mots et les images, alors que la poésie s’associe aux photos.
Les étudiants, poètes et photographes vous y présenteront le résultat de leurs œuvres réunies, dans un recueil diversifié et de qualité. Celui-ci offre au lecteur la possibilité d’apprécier la lecture de plusieurs poèmes, entrecoupés d’œuvres photographiques incomparables.
Pour les étudiants-créateurs, il s’agit d’un moment inestimable puisqu’il représente l’aboutissement de plusieurs semaines de travail.
Vous êtes tous et toutes invités au lancement du troisième roman de Nicolas Chalifour, Vol DC-408, qui aura lieu à la Taverne Atlantic le lundi 7 octobre à 18 heures.
Le plus récent recueil de poésie de Mathieu Blais paraît aujourd’hui. La quatrième de couverture de Sudan et Najin et Fatu se présente ainsi :
«Puis il n’y eut plus que Sudan et Nasima, et Nabiré et Najin, et Najin et Saut donnèrent naissance à Fatu, et Sudan est mort cette année-là, et ils ne furent plus que deux. Deux, et nous étions là, à compter. Et tu parlais, tu continuais de parler, Cassandre, mon amour. Et ma langue morte s’aiguisait sur la pierre noire.»