Le plus récent recueil de poésie de Mathieu Blais paraît aujourd’hui. La quatrième de couverture de Sudan et Najin et Fatu se présente ainsi :
«Puis il n’y eut plus que Sudan et Nasima, et Nabiré et Najin, et Najin et Saut donnèrent naissance à Fatu, et Sudan est mort cette année-là, et ils ne furent plus que deux. Deux, et nous étions là, à compter. Et tu parlais, tu continuais de parler, Cassandre, mon amour. Et ma langue morte s’aiguisait sur la pierre noire.»