La pièce L’hiver de force présentée cette semaine

L'hiver de forceLes finissants du programme Arts, lettres et communications, option Théâtre, présentent L’hiver de force, au studio-télé du campus de Longueuil (local D-2316), le temps de quatre représentations qui auront lieu le mercredi 17 mai, à 19 h 30, le jeudi 18 mai, à 12 h 30 et à 19 h 30 et le vendredi 19 mai, à 12 h 30.

Cette pièce est une adaptation du roman de Réjean Ducharme, réalisée par Lorraine Pintal, Lyne Hains et Nicolas Guillemette. La mise en scène est quant à elle signée Dominique Boisvert. Différents aspects de la mise en scène ont été dirigés par les étudiants, de la confection des costumes à la direction des acteurs. Cette incontournable pièce de théâtre entraîne les dix acteurs dans un univers onirique et ludique campé dans les années 1970 au Québec.

La pièce raconte l’histoire d’André et de Nicole, accompagnées de leurs alter ego Ines Pérée et Inat Tendu. Ces correctrices décidées à ne rien faire sont fascinées par le vide qui aspire la société. « Et si on ne faisait plus rien ? Quand y aura plus rien, on pourra plus dire du mal de rien. » Leur amour passionnel pour la star Petit-Pois bouleversera cependant leur quotidien.

Les différents rôles sont interprétés par les membres de la troupe Lazzi, dont font partie Domitille Condrain-Morel, Ariane Dorion, Julie Auclair, Emmanuel Bossé-Messier, Arielle Thiffault, Roxane Trudel, Samuel Lamarre, Gabriel Caron-Roy et Mariann Thibault.

Les billets seront disponibles à la porte et auprès de ces étudiants au coût de 5 $.

Les étudiants de première année en Théâtre présentent Le psychomaton

PsychomatonLa troupe des Indécis, formée d’étudiants de première année de l’option Théâtre du programme Arts, lettres et communication, fera sa première apparition sur scène avec la pièce Le psychomaton. Deux présentations gratuites sont proposées le mercredi 10 mai, à 12 h 30 et à 19 h 30, au studio-télé du campus de Longueuil (local D-2316).

La pièce d’Anne-Marie Olivier, mise en scène par Lyne Hains, professeure de théâtre au Cégep, raconte l’histoire de Josée, une optimiste ambitieuse, et celle de Polo, un homme ingénieux et surtout amoureux, qui tenteront ensemble de changer la face du monde à l’aide d’une invention qu’ils espèrent révolutionnaire.

« Avec cette pièce écrite en 2007, Anne-Marie Olivier crée une mosaïque de personnages drôles, émouvants et parfois déjantés, précise Lyne Hains. Ce fut un immense plaisir de diriger cette troupe de jeunes comédiens. Ils ont mis tout leur cœur à créer de merveilleux personnages et à concevoir costumes et décors. Ils sont maintenant prêts à vous présenter, avec fierté, le fruit de leur travail. »

La distribution est composée de Catherine Alepin, Marjorie Bernier, Sandryne Chartrand, Benoit Dupuis, Nadège Gadoua, Félix Gagnon, Charles Malo-Blais, Sabrina Parisella, Ellie Pelletier, Virginie-Anne Pigeon, Patrice Ranger, Mélanie Rivard, Caroline Rousseau, Pierre Tripard et Aude Vallerand.

Production théâtrale dirigée : Too Much!

Mise en scène de Caroline Lauzon assistée de Dominique Boisvert, photos et costumes de Jasmine Lachance, scénographie et éclairage de Suzie Bilodeau

Les étudiants de l’option théâtre inscrits au cours de Production dirigée ont présenté le 30 novembre 2016  à la salle Jean-Louis-Millette du Théâtre de la ville le résultat d’un processus de création entrepris en août 2016.  La recherche s’est amorcée autour du thème de la démesure, un élément étroitement lié au conflit dramatique. Le résultat est un objet excessif, baroque et débridé, un collage de textes écrits par quelques étudiants de la troupe (Emmanuel Bossé-Messier, Ariane Dorion et Roxane Trudel) et par des dramaturges québécois contemporains : François Archambault, Annick Lefebvre, Catherine Léger, Mathieu Leroux et François Létourneau.

Les étudiants de l’option Théâtre en spectacle

Too MuchLes étudiants de l’option Théâtre du programme Arts, lettres et communication, communément désignés sous le nom de scène « troupe Lazzi », vous convient à leur spectacle de création, intitulé Too Much, qui aura lieu ce mercredi 30 novembre. Une générale ouverte au public a lieu à 12 h 15, tandis que la représentation du soir est prévue à 20 h. Les deux représentations ont lieu à la salle Jean-Louis-Millette du Théâtre de la ville.

Les étudiants et leur professeure, Caroline Lauzon, ont travaillé autour de l’idée de la démesure, à partir de textes québécois contemporains de François Archambault, d’Annick Lefebvre, de Catherine Léger, de Mathieu Leroux et de François Létourneau. Quelques textes sont aussi de la plume des étudiants du groupe.

Émilie Jobin, metteure en scène

Pour la troisième fois, Émilie Jobin, professeure au Département de littérature et de français, mais aussi comédienne et metteure en scène, a été choisie par le Service des activités culturelles de l’Université de Montréal pour monter une pièce de théâtre avec des étudiants issus de disciplines et d’origines diverses. « Il y a quelque chose d’incroyablement vivifiant dans le fait de réunir des étudiants de toutes les disciplines et de divers pays autour d’un spectacle. Il en résulte un esprit de groupe qui est palpable sur scène et qui donne lieu à des moments magiques », s’enthousiasme Émilie à deux semaines de la représentation.

Notre collègue a travaillé d’arrache-pied depuis septembre pour présenter sa lecture de Nous habiterons Détroit, un texte de la jeune auteure et comédienne Sarah Berthiaume (Le Déluge après, Disparitions, Villes mortes, Selfie).

Sur scène, dix personnages s’offrent un road trip pour nulle part, mais c’est à Détroit qu’ils aboutissent, ville-symbole de la déchéance du rêve américain, en train pourtant de renaitre de ses cendres. Dans une langue poétique et imagée, cette pièce sur les grandeurs et misères de la société américaine entre en résonance avec le hiatus historique et social qui s’est installé chez nos voisins du Sud. « Sarah Berthiaume nous fait vivre Détroit de l’intérieur. Elle a mis en mots des centaines de petits détails qui font qu’on ressort de ce texte avec la nette impression d’avoir vu cette ville mythique, d’avoir senti le coeur de la métropole battre, d’avoir plongé dans sa noirceur et sa lumière », poursuit notre collègue metteure en scène.

Nous habiterons Détroit, le 9 décembre à 20 h et le 10 décembre à 14 h et à 20 h, Université de Montréal, Centre d’essai, Pavillon J.-A.-DeSève, 2332 boul. Édouard-Montpetit, 6e étage.

Cliquez ici pour vous procurer des billets.

P. M.

Don Quichotte, présenté par les finissants en Théâtre

Les finissants du programme Arts, lettres et communication, option Théâtre, présentent Don Quichotte, le mercredi 25 mai 2016, à 12h30 et à 20h, à la salle Jean-Louis-Millette du Théâtre de la Ville. Pour les étudiants, c’est une belle façon de clore les études collégiales après deux ans à Édouard. « Ce projet représente pour nous la conclusion de deux belles années d’efforts soutenus », a mentionné Marie-Hélène Perron, finissante.

D’après la mise en scène de Lyne Hains, professeure de littérature au Cégep, assistée de Samuel Tétreault, étudiant en Théâtre, la pièce promet une soirée haute en couleur. « La diversité du texte de Jean-Pierre Ronfard et de celle des étudiants font la force de la pièce », a souligné Samuel.

Le spectacle a été monté de toutes pièces par les étudiants, explorant ainsi tous les aspects du théâtre. Scénographie, costumes, décors, jeu, chaque finissant avait sa propre responsabilité. « L’expérience a été enrichissante sur tous les points. C’est un bagage qui ne nous quittera jamais », a fait savoir Laurie Deneault, finissante.

La pièce en quelques mots

Don Quichotte semble avoir perdu la raison. La tête pleine de romans de chevalerie, le vieil homme s’échappe d’une réalité trop vide et trop sombre pour lui, accompagné de sa mythique monture Rossinante. Sous ses yeux, les auberges se transforment en châteaux, les paysannes en princesses et les moulins à vent en géants… Rencontrant au fil de son parcours celui qui deviendra son écuyer, Sancho Panza, Don Quichotte écrira sa propre histoire, quitte à confronter le monde cynique qui l’entoure à la force même de ses bras et de ses mots.

Le coup de poing de Mathieu Leroux

Quelque chose en moiLe 18 mars prochain, à 17 h, sera lancé à l’Usine C le plus récent livre de notre collègue Mathieu Leroux : Quelque chose en moi choisit le coup de poing (éditions La Mèche). Une couverture et un titre percutants pour ce que l’auteur qualifie « d’essai, de théâtre, de beau livre-bibitte, d’années de réflexion et d’exécution théâtrale à l’intérieur d’un joli volume » et que l’éditeur décrit comme « de la BOMBE artistique et intellectuelle. »

L’évènement aura lieu dans le cadre du colloque « Théâtre. Liberté. Scandale. Que peut le transgressif dans les arts de la scène ? » qui aura lieu les 18 et 19 mars prochains à l’Usine C. Notre collègue, écrivain, professeur, comédien et metteur en scène se prêtera au jeu de la discussion publique avec son éditeur, l’auteur et professeur de littérature Pierre-Luc Landry. Les deux comparses échangeront autour de la thématique « Se performer, entre cruauté et liberté ».

Et comme Mathieu est aussi une bête des planchers de danse et est entouré d’amis DJ, nous pourrons nous déhancher joyeusement, manger, jaser et boire au Café de l’Usine C. Venez nombreux célébrer ce beau moment et trinquer à la puissance des mots et de la vie.

La ménagerie d’Axel Robin

Le texte intitulé « Des moutons, des anges et des paons » d’Axel Robin, étudiant en Arts, lettres et communication, option Cinéma, est en lice pour le concours intercollégial d’écriture dramatique l’Égrégore. Une bonne nouvelle pour cet étudiant dont l’écriture est le principal loisir. « Étrangement, divaguer est pour moi une façon de rester accroché à la réalité », explique le jeune homme.

Son projet théâtral — « une critique des critiques de la société », comme il l’explique — a plu aux membres du jury, les professeures de littérature et français Émilie Jobin et Anyse Boisvert.

Rappelons que l’an dernier, c’est Marie-Hélène Perron, étudiante en Arts et lettres, option Arts d’interprétation, qui avait remporté le prix. Ce succès avait alors rejailli sur toute la communauté d’Édouard-Montpetit, qui remportait ce prix pour la première fois.

L’Égrégore en quelques mots

Le concours l’Égrégore a pour objectifs de sensibiliser les étudiants et les étudiantes du collégial à l’écriture dramatique, mais aussi de les amener à explorer l’usage de la langue française à travers l’écriture dramatique tout en mettant à profit leur imagination.

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Voyage au centre de la tête présenté par des étudiants de l’option Théâtre

théatreLes étudiants et les étudiantes de 2e année de l’option Théâtre, regroupés sous le nom Les Hémisphères, présentent Voyage au centre de la tête, un collage de textes de théâtre québécois contemporain.

Lundi 14 décembre à 20 h, à la Salle A. Lassonde (C-30 ). Entrée libre.